Depuis
de nombreuses années, j'ai gagné ma vie comme consultant
en immigration en facilitant des centaines de personnes désirant
à se déplacer au Canada. Dans presque tous les cas, j'ai
trouvé que, si les conditions de vie dans leur pays d'origine
été plus favorable, ils n'auraient jamias fait ce déplacement
très difficile et coûteux à l'étranger. En
d'autres termes à peu près tous les immigrants volontaires,
pour ne rien dire au sujet des réfugiés de la persécution
ou des pays déchirés par la guerre, fait d'eux-mêmes
exilés de leurs terres propres à améliorer leurs
vies et celles de leurs enfants. En
utilisant le manuel standard employé par la plupart des avocats
d'immigration et les praticiens-conseils, j'ai tenté d'évoquer
le sens profond de déplacement et d'aliénation la plupart
des immigrants se sentent une fois l'euphorie initiale de l'arrivée
dans un pays nouveau et étrange a disparu et les réalités
de l'adaptation et l'intégration dans une société,
où l'immigrant ne connait pratiquement personne, se faire sentir
sur une base quotidienne.